3 mois d'absence en photos
Je vous ai laissé quelques jours, purement et simplement, sur ces bonnes paroles : "...En attendant de revenir très vite ...", je le sais, je le sais et fais mon mea culpa !
En écrivant ces mots, je pensais, réellement, revenir très vite sur ces pages témoins de mon quotidien culinaire. Nous étions le 31 décembre et, sans trop y croire cependant, je tentais d'établir la liste des bonnes résolutions que j'allais prendre le soir même !
Mais, une fois de plus, le temps-mon ennemi, mon manque d'organisation chronique, l'abandon quasi instantané de mes pseudos bonnes résolutions et, surtout, d'autres priorités (bien plus urgentes), m'ont fait faiblir et choir dès le 2 janvier !
Enfin, me revoilà ! Et pour de bon, je l'espère... Même si nous sommes déjà le 26 février... Où vous ai-je quitté ?
Ah oui !
Comme je vous le disais ici, j'ai passé un excellent moment au Salon du Chocolat de Grenoble, un certain dimanche de novembre (déjà ???? J'ai l'impression que c'était "hier" et nous étions le 23.. Il y a 3 mois) .
Après un excellent cours sur les cocktails, dispensé par Emmanuel Avond, et un petit détour par le Ristretto Cafe, nous nous sommes rendus sur les lieux du crime de toutes les perditions : le stand de la pâtisserie-chocolaterie Les Ecrins.
Ouvrez grand vos mirettes :
Une splendide pyramide (tournante - ce qui explique un peu le flou involontaire-je-le-jure de cette photo prise avec mon téléphone) de macarons... Et des macarons ici et là et encore là... Sans aucun doute, ici on surfe sur la vague tendance...
Après avoir cédé à la tentation et croqué quelques macarons (aux parfums plutôt basiques mais sans fausse note), nos pas nous ont porté auprès du stand Bouga CacaO.
Là, je commence par croquer une fève de cacao entière, juste torréfiée : tiens, c'est curieux... Plutôt fade. Pas franchement le goût du chocolat tel qu'on en a l'habitude. Mais je veux bien l'imaginer (comme me le conseille le vendeur à l'accent germanique ! Normal, nous parlons d'une société allemande qui commercialise du chocolat équitable en provenance, notamment, d'Equateur) accompagnée d'une tasse de café... Faut voir.
Je cède et achète un paquet de Pepas. Que j'accompagne d'un paquet de Moronas (éclats de fèves de cacao) et de deux paquets de poudres à chocolat chaud : Amazonia (parfumé au Ishpink) et Puro (nature). Faut ce qu'il faut ! L'hiver approchant, il s'agit de prévoir des provisions. Que j'ai oublié dans un coin de mon placard...
Comme le reste de mon escapade grenobloise qui s'est, elle, perdue, dans les méandres de ma mémoire...
Puis, le week-end suivant, je me suis échappée au Salon Saveurs et Terroirs de Chambéry.
Juste pour faire quelques emplettes de curry doux, de poivre long, de pan massala et de cannelle chez La Place aux Epices.
Et puis encore quelques bâtons de réglisse pour la nostalgie et un sachet de fruits secs (fraise, papaye, ananas, kiwis...) destinés à parfumer un futur cake (promis à l'Homme mais toujours en attente...).
En décembre, une petite promenade à Tain, histoire de faire un coucou à Super Julie et d'engranger, une fois de plus, trucs et astuces imparables dont la technique des champignons en meringue et des fonds de tarte parfaits. Et me voilà, une nouvelle fois, diplômée, tout comme Cath et Auré :
Quelques douceurs pour égayer les fêtes avec mise en application des explications drômoises :
Et nous voilà propulsés en janvier avec, à la clé, un stage informatique (="vampire" de temps) et un détour par le Sirha de Lyon : j'en profite pour commander 5KSB52, nom de code de l'intimidant mais sublime petit frère de Darky, dont je vous reparlerai bientôt ; mais pas seulement !
Je me rends, en bonne compagnie, sur le stand de La Tourangelle et goûte et déguste des huiles plus parfumées et incroyables les unes que les autres : d'avocat, j'en suis fan, c'est fait ; celle de pistache ou encore l'huile vierge de noix... Ne désespérez pas, bientôt, c'est promis, la vente en ligne sera possible.
Un détour rapide mais néanmoins gourmand chez Capfruit, où nous découvrons des passionnés du goût et du terroir.
Juste après avoir profité de la Coupe du Monde de Pâtisserie qui verra, le lendemain, la victoire de la France :
Nous filons, en accès V.I.P. (merci Mercotte !), sur le stand Valhrona où différents snacks chocolatés, sucrés mais aussi salés, nous sont proposés :
Puis, un morçeau de doigt en moins (oh, trois fois rien, seulement une fine tranchette) m'éloigne quelques temps de mon clavier et de mes fourneaux. C'était le bout de mon pouce de la main droite : je vous laisse (ou pas, selon votre sensibilité) imaginer mon quotidien...
Février pointe son nez avec les 15 jours de vacances de Fille n° 1 et n° 2 (= plus une seconde à moi) et mars lui emboîte le pas dare-dare !
Voici comment ont filé 3 mois d'une vie... de gourmande !
A demain, c'est dit et promis, pour vous conter un petit test chocolaté avant que Pâques, ses cloches et autres oeufs ne frappent à ma porte !